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le blog de brocéliande
15 novembre 2008

La sagesse des indiens

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H
LA MAITRISE DE SOI est un état d'Ame particulier, une qualité de supériorité et de puissance qui permet de faire ce que l'on veut et rien que ce que l'on veut. C'est la faculté<br /> <br /> qui nous permet de discuter tous nos actes et de contrôler tous nos mouvements, dans le but d'économiser notre énergie pour l'utiliser le plus avantageusement possible. C'est la force qui, sous tous les rapports, met l'individu qui la possède au-dessus des autres ; c'est la plus grande partie du magnétisme personnel qui permet d'attirer naturellement les bonnes choses de la vie et de repousser les mauvaises.<br /> On comprend, d'ailleurs, que celui qui est incapable de se maîtriser doit être incapable de diriger les autres. Il doit, fatalement, rester impuissant à surmonter les difficultés de la vie, à faire tourner en sa faveur la roue de la fortune, à vaincre le destin ; autrement, dit, il ne peut être heureux, car il dépense maladroitement les forces nécessaires a son Bonheur.<br /> Pour mieux faire comprendre en quoi consiste la Maîtrise de soi, je vais indiquer quelques-uns des caractères qui distinguent celui qui la possède à un certain degré de celui qui en est dépourvu, pour les comparer l'un à l'autre.<br /> L'individu qui est maître de lui :<br /> — 1. Garde son sang-froid et conserve toutes ses forces au moment du danger. Il devient même plus fort qu'il n'est habituellement, car il comprend, instinctivement du moins, qu'il doit rassembler toutes ses énergies pour se sauver et sauver les autres. Si cela est impossible, il reste calme jusqu'à la mort et rassure de son mieux ses compagnons d'infortune.<br /> — 2. Il n'est pas surpris lorsqu'un bruit soudain se fait entendre près de lui.<br /> — 3. Il n'a peur de rien. Sans être téméraire, il est, toujours, hardi et courageux.<br /> — 4. Il soutient hardiment la controverse, discute froidement le pour et le contre et ne s'emporte jamais.<br /> 5. Il fait ce qu'il veut de son temps et de sa personne, sans subir, jamais, l'influence des autres.<br /> — 6. II se connaît ! Il a conscience de sa supériorité sur beaucoup d'autres, mais il ne le fait pas voir. Simple et modeste, il est, toujours, calme, et cet état se réfléchit sur son visage, dans son attitude et dans ses manières, sous la forme d'une noble fierté dépourvue de toute arrogance. Satisfait de sa situation quelle qu'elle soit, il aspire, toujours, à une santé meilleure, à des résultats plus satisfaisants sous tous les rapports, et tait ce qu'il faut pour y parvenir.<br /> — 7. Il prend, très volontiers, du plaisir et de la distraction ; et s'il dépense plus qu'il ne l'avait cru d'abord, il ne le regrette pas. La partie terminée, il ne pense qu'à la satisfaction qu'il s'est donnée, et, surtout, au bénéfice physique et moral qu'il va en tirer.<br /> — 8. Bon et prévenant pour ses semblables, il soulage leurs misères dans la mesure de ses moyens ; il les conseille, les encourage et les réconforte, mais il ne s'apitoie jamais sur le sort des plus malheureux, car il comprend que cela les déprimerait et ne servirait qu'à faire admettre à ceux-ci que leur malheur est encore plus grand qu'ils ne le pensent.<br /> — 9. Toujours calme, il concentre sa pensée sur l'acte qu'il accomplit à l'instant même, sans se laisser distraire. Tout en parcourant les journaux pour être au courant de la marche du progrès, il évite la lecture des romans, des contes et des banalités qui ne devraient intéresser personne.<br /> — 10. Il estime que la Vie mérite d'être vécue.<br /> <br /> Elle constitue un état qu'il cherche, toujours, à rendre plus parfait. Quoique heureux et content de son sort, il tend, sans cesse, à l'améliorer par son travail et ses aspirations.<br /> Par contre, l'individu qui n'est pas maître de lui :<br /> — 1. S'affole, crie et se désespère au moment du danger. En écrasant les autres, il ne pense qu'à la fuite sans en chercher les moyens, car la peur paralyse sa raison.<br /> — 2. Il sursaute au moindre bruit : grincement d'une porte, craquement d'un meuble...<br /> — 3. Ayant peur de tout, il est saisi de frayeur à la vue d'une guêpe qui s'approche de lui, d'une souris qui passe ou d'un crapaud qui s'enfuit. Souvent lâche, il est, toujours, poltron.<br /> — 4. Ne supportant pas la controverse, il ne peut pas discuter ; dès qu'on n'est plus d'accord avec lui, il se fâche, se met en colère et vous insulte.<br /> — 5. Ne sachant que faire de son temps, il fe laisse, entraîner par des camarades où il ne voudrait pas aller.<br /> — 6. Il ne se connaît pas ! N'ayant même pas conscience de sa faiblesse, il prend, souvent, ses défauts pour des qualités. Entêté, orgueilleux, arrogant et, parfois, méchant, il passe, souvent, de l'énervement à l'abattement, et cet état se réfléchit sur son visage. Il s'en aperçoit et cherche à le dissimuler, mais on le voit et l'on dit qu'il « est faux ». Il redoute, sans cesse, des malheurs qui n'auront peut-être pas le temps de lui arriver. Analysant ses sensations, il épie le plus petit malaise, qui est, ainsi, guetté, attendu, et, souvent, provoqué. Si ce malaise arrive, il est grossi et amplifié ; c'est le début de la maladie. Il est, toujours, mécontent de lui et de ceux qui l'entourent ; ses affaires ne vont pas, la misère approche, mais il est incapable de faire quoi que ce soit pour l'éviter, car il attend que les alouettes rôties arrivent d'elles-mêmes sur sa table.<br /> — 7. Il redoute les défauts qu'il est incapable de surmonter. S'il dépense de l'argent pour se distraire, il le regrette et y pense sans cesse, sans songer que la distraction lui est plus nécessaire qu'à tout autre. S'il est minutieux, la plus petite manifestation ennuyeuse est soigneusement, étiquetée ; elle a sa fiche signalétique pour être reconnue dès qu'elle arrivera. C'est, le moyen le plus certain pour l'attirer au plus vite.<br /> — 8. Toujours égoïste et maladroit, il se désole devant la misère et le malheur de ses semblables, et leur fait, toujours, part de sa désolation. Il les plaint, leur fait craindre des malheurs plus grands encore, sans comprendre combien ces sentiments leur sont nuisibles. S'il leur vient en aide, il leur fait bien sentir que c'est parce qu'ils sont dans le besoin.<br /> — 9. Il met en tout de la précipitation qui use inutilement ses forces et n'arrive jamais à l'heure. Il ne lit dans les journaux que les romans, les faits divers, les accidents, les crimes et les horreurs de toute sorte que des rédacteurs peu scrupuleux écrivent spécialement pour ceux qui ne vivent que d'émotions malsaines.<br /> — 10. La vie lui est, toujours, à charge, et il pense, souvent, au suicide. Dans tous les cas, il n'est jamais heureux, car il est, toujours, mécontent de lui et des autres. On lui fait du mal, on l'envoûte, et ii n'éprouve de soulagement qu'en racontant ses maux réels ou imaginaires à tous ceux qui veulent l'entendre.<br /> En présence de ces deux types que j'ai choisis, non pas au sommet ni au plus bas de<br /> <br /> l'échelle de l'Evolution, mais assez loin de ces deux points extrêmes, on comprend très bien que les individus du premier type sont maîtres d'eux-mêmes, et qu'avec de la bonne volonté, ils pourront rapidement acquérir i'influenge personnelle à un très haut degré, car ils sont, déjà, positifs et en voie de devenir attractifs. Par rapport à eux, les derniers sont des arriérés, des négatifs qui sont fatalement répulsifs si ce n'est pour ceux qui sont encore au-dessous de leur niveau. Leur tâche sera ardue pour monter à la hauteur des premiers. Ils ne comprendront, d'abord, que fort peu de chose à ce que j'enseigne ici ; et ce n'est qu'en s'y reprenant à plusieurs fois qu'ils y parviendront. Dès qu'ils auront compris, en se mettant courageusement, à la tâche, ils parviendront, aussi, à la maîtrise d'eux-mêmes. Arrivés là, ils pourront légitimement aspirer aux pouvoirs que le magnétisme personnel peut donner à tous.<br /> <br /> Henri Durville
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LA MAITRISE DE SOI est un état d'Ame particulier, une qualité de supériorité et de puissance qui permet de faire ce que l'on veut et rien que ce que l'on veut. C'est la faculté<br /> <br /> qui nous permet de discuter tous nos actes et de contrôler tous nos mouvements, dans le but d'économiser notre énergie pour l'utiliser le plus avantageusement possible. C'est la force qui, sous tous les rapports, met l'individu qui la possède au-dessus des autres ; c'est la plus grande partie du magnétisme personnel qui permet d'attirer naturellement les bonnes choses de la vie et de repousser les mauvaises.<br /> On comprend, d'ailleurs, que celui qui est incapable de se maîtriser doit être incapable de diriger les autres. Il doit, fatalement, rester impuissant à surmonter les difficultés de la vie, à faire tourner en sa faveur la roue de la fortune, à vaincre le destin ; autrement, dit, il ne peut être heureux, car il dépense maladroitement les forces nécessaires a son Bonheur.<br /> Pour mieux faire comprendre en quoi consiste la Maîtrise de soi, je vais indiquer quelques-uns des caractères qui distinguent celui qui la possède à un certain degré de celui qui en est dépourvu, pour les comparer l'un à l'autre.<br /> L'individu qui est maître de lui :<br /> — 1. Garde son sang-froid et conserve toutes ses forces au moment du danger. Il devient même plus fort qu'il n'est habituellement, car il comprend, instinctivement du moins, qu'il doit rassembler toutes ses énergies pour se sauver et sauver les autres. Si cela est impossible, il reste calme jusqu'à la mort et rassure de son mieux ses compagnons d'infortune.<br /> — 2. Il n'est pas surpris lorsqu'un bruit soudain se fait entendre près de lui.<br /> — 3. Il n'a peur de rien. Sans être téméraire, il est, toujours, hardi et courageux.<br /> — 4. Il soutient hardiment la controverse, discute froidement le pour et le contre et ne s'emporte jamais.<br /> 5. Il fait ce qu'il veut de son temps et de sa personne, sans subir, jamais, l'influence des autres.<br /> — 6. II se connaît ! Il a conscience de sa supériorité sur beaucoup d'autres, mais il ne le fait pas voir. Simple et modeste, il est, toujours, calme, et cet état se réfléchit sur son visage, dans son attitude et dans ses manières, sous la forme d'une noble fierté dépourvue de toute arrogance. Satisfait de sa situation quelle qu'elle soit, il aspire, toujours, à une santé meilleure, à des résultats plus satisfaisants sous tous les rapports, et tait ce qu'il faut pour y parvenir.<br /> — 7. Il prend, très volontiers, du plaisir et de la distraction ; et s'il dépense plus qu'il ne l'avait cru d'abord, il ne le regrette pas. La partie terminée, il ne pense qu'à la satisfaction qu'il s'est donnée, et, surtout, au bénéfice physique et moral qu'il va en tirer.<br /> — 8. Bon et prévenant pour ses semblables, il soulage leurs misères dans la mesure de ses moyens ; il les conseille, les encourage et les réconforte, mais il ne s'apitoie jamais sur le sort des plus malheureux, car il comprend que cela les déprimerait et ne servirait qu'à faire admettre à ceux-ci que leur malheur est encore plus grand qu'ils ne le pensent.<br /> — 9. Toujours calme, il concentre sa pensée sur l'acte qu'il accomplit à l'instant même, sans se laisser distraire. Tout en parcourant les journaux pour être au courant de la marche du progrès, il évite la lecture des romans, des contes et des banalités qui ne devraient intéresser personne.<br /> — 10. Il estime que la Vie mérite d'être vécue.<br /> <br /> Elle constitue un état qu'il cherche, toujours, à rendre plus parfait. Quoique heureux et content de son sort, il tend, sans cesse, à l'améliorer par son travail et ses aspirations.<br /> Par contre, l'individu qui n'est pas maître de lui :<br /> — 1. S'affole, crie et se désespère au moment du danger. En écrasant les autres, il ne pense qu'à la fuite sans en chercher les moyens, car la peur paralyse sa raison.<br /> — 2. Il sursaute au moindre bruit : grincement d'une porte, craquement d'un meuble...<br /> — 3. Ayant peur de tout, il est saisi de frayeur à la vue d'une guêpe qui s'approche de lui, d'une souris qui passe ou d'un crapaud qui s'enfuit. Souvent lâche, il est, toujours, poltron.<br /> — 4. Ne supportant pas la controverse, il ne peut pas discuter ; dès qu'on n'est plus d'accord avec lui, il se fâche, se met en colère et vous insulte.<br /> — 5. Ne sachant que faire de son temps, il fe laisse, entraîner par des camarades où il ne voudrait pas aller.<br /> — 6. Il ne se connaît pas ! N'ayant même pas conscience de sa faiblesse, il prend, souvent, ses défauts pour des qualités. Entêté, orgueilleux, arrogant et, parfois, méchant, il passe, souvent, de l'énervement à l'abattement, et cet état se réfléchit sur son visage. Il s'en aperçoit et cherche à le dissimuler, mais on le voit et l'on dit qu'il « est faux ». Il redoute, sans cesse, des malheurs qui n'auront peut-être pas le temps de lui arriver. Analysant ses sensations, il épie le plus petit malaise, qui est, ainsi, guetté, attendu, et, souvent, provoqué. Si ce malaise arrive, il est grossi et amplifié ; c'est le début de la maladie. Il est, toujours, mécontent de lui et de ceux qui l'entourent ; ses affaires ne vont pas, la misère approche, mais il est incapable de faire quoi que ce soit pour l'éviter, car il attend que les alouettes rôties arrivent d'elles-mêmes sur sa table.<br /> — 7. Il redoute les défauts qu'il est incapable de surmonter. S'il dépense de l'argent pour se distraire, il le regrette et y pense sans cesse, sans songer que la distraction lui est plus nécessaire qu'à tout autre. S'il est minutieux, la plus petite manifestation ennuyeuse est soigneusement, étiquetée ; elle a sa fiche signalétique pour être reconnue dès qu'elle arrivera. C'est, le moyen le plus certain pour l'attirer au plus vite.<br /> — 8. Toujours égoïste et maladroit, il se désole devant la misère et le malheur de ses semblables, et leur fait, toujours, part de sa désolation. Il les plaint, leur fait craindre des malheurs plus grands encore, sans comprendre combien ces sentiments leur sont nuisibles. S'il leur vient en aide, il leur fait bien sentir que c'est parce qu'ils sont dans le besoin.<br /> — 9. Il met en tout de la précipitation qui use inutilement ses forces et n'arrive jamais à l'heure. Il ne lit dans les journaux que les romans, les faits divers, les accidents, les crimes et les horreurs de toute sorte que des rédacteurs peu scrupuleux écrivent spécialement pour ceux qui ne vivent que d'émotions malsaines.<br /> — 10. La vie lui est, toujours, à charge, et il pense, souvent, au suicide. Dans tous les cas, il n'est jamais heureux, car il est, toujours, mécontent de lui et des autres. On lui fait du mal, on l'envoûte, et ii n'éprouve de soulagement qu'en racontant ses maux réels ou imaginaires à tous ceux qui veulent l'entendre.<br /> En présence de ces deux types que j'ai choisis, non pas au sommet ni au plus bas de<br /> <br /> l'échelle de l'Evolution, mais assez loin de ces deux points extrêmes, on comprend très bien que les individus du premier type sont maîtres d'eux-mêmes, et qu'avec de la bonne volonté, ils pourront rapidement acquérir i'influenge personnelle à un très haut degré, car ils sont, déjà, positifs et en voie de devenir attractifs. Par rapport à eux, les derniers sont des arriérés, des négatifs qui sont fatalement répulsifs si ce n'est pour ceux qui sont encore au-dessous de leur niveau. Leur tâche sera ardue pour monter à la hauteur des premiers. Ils ne comprendront, d'abord, que fort peu de chose à ce que j'enseigne ici ; et ce n'est qu'en s'y reprenant à plusieurs fois qu'ils y parviendront. Dès qu'ils auront compris, en se mettant courageusement, à la tâche, ils parviendront, aussi, à la maîtrise d'eux-mêmes. Arrivés là, ils pourront légitimement aspirer aux pouvoirs que le magnétisme personnel peut donner à tous.<br /> <br /> Henri Durville
N
Bon, je suis allée un peu trop vite concernant mon post ci-dessus et j'ai fait des fautes de frappe, j'en suis confuse :-))<br /> <br /> Il fallait lire :<br /> <br /> "Le sage ne dit pas ce qu'il sait, le sot ne sait pas ce qu'il dit."<br /> <br /> Brins de sagesse: <br /> <br /> Les quatre accords toltèques, base de la sagesse de ce peuple qui nous est transmise par des générations de naguals<br /> <br /> - Que votre parole soit impeccable.<br /> Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez.<br /> N'utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire sur autrui. <br /> <br /> - Ne réagissez à rien de façon personnelle.<br /> Ce que les autres disent et font n'est qu'une projection de leur propre réalité, de leur rêve. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n'êtes plus victime de souffrances inutiles. <br /> <br /> - Ne faites aucune supposition.<br /> Ayez le courage de poser des questions et d'exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames. À lui seul cet accord peut transformer votre vie. <br /> <br /> - Faites toujours de votre mieux.<br /> Votre "mieux" change d'instant en instant, quelles que soient les circonstances, faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous juger, de vous culpabiliser et d'avoir des regrets.
N
En hommage au peuple opprimé et décimé (plus de 75 millions d'hommes exterminés), l'un des seuls peuples sur cette planète qui sait ou se souvient encore que ses racines sont extraterrestres et terrestres à la fois.<br /> <br /> http://fr.youtube.com/watch?v=Eum4xW4c4X8&feature=related<br /> <br /> <br /> Lecture :<br /> - Le voyage sacré amérindien (Don Marcillo)<br /> - Le vol du condor aérindien (don Marcillo)<br /> <br /> .... mais qui encore comprend la vérité et la noblesse de vos traditions ? <br /> <br /> Merci à ces Lakotas et à tous les autres qui eux aussi se sont battus pour nous en 39/45 et reposent en France au sein de la Terre-Mère.<br /> <br /> Merci à Wallace Black Elk, merci à Archie Fire Lam Deer pour leur enseignement en terre bretonne afin que nous retrouvions nos propres racines.<br /> <br /> Mission accomplie.<br /> <br /> Merci pour votre courage, hommage à vous pour votre courage, votre grandeur et votre ténacité.<br /> <br /> Le sage ne dit pas ce qu'il sait, le szt ne sait pas cer qu'il dit.<br /> <br /> O Mitakuye Oyasin (nous sommes tous reliés) <br /> http://regisliber.spaces.live.com/
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